ALCOOL POISON 

 

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L'alcool, la fermentation, a toujours été condamné par Dieu :

 

Dans l'Ecriture divine, la fermentation a toujours représenté la corruption, l'apostasie, l'indignation divine. 

 

L'alcool est un narcotique. Quelque soit la quantité, l'alcool détruit les cellules du cerveau ! C'est un poison ! Quelque soit la quantité, il a toujours été condamné par Dieu. Ce n'est pas l'abus du vin mais son usage qui est interdit par Dieu. C'est la nature et non la quantité qui est répréhensible aux yeux de Dieu. Proverbes 20:1 ; 23:31 ; 31:4, 5 ; Lévitique 10:9, 10 ; Ephésiens 5:18 1 Timothée 3:2, 3, 11 ; Tite 1:7, 8 ; 2:1, 2 ; Galates 5:22, 23.

 

"Railleur, le vin ; tumultueuses, les liqueurs ! Qui s'y adonne ne devient pas sage !" Proverbes 20:1.

 

"Ne regarde pas avec curiosité et convoitise le vin : "Comme il est vermeil ! Comme il donne son oeil à la coupe ! Comme il coule facilement ! ..."" Proverbes 23:31.

 

"Ce n'est pas aux rois, Lemouel, ce n'est pas aux rois de boire du vin, ni aux potentats de la liqueur. Qu'il ne boive, n'oublie la loi et tronque le procès de tous les fils de l'humiliation." Proverbes 31:4, 5.

 

"Tu ne boiras ni vin ni liqueur, toi et tes fils avec toi, lorsque vous entrerez dans la tente de réunion, afin que vous ne mouriez pas : une loi perpétuelle parmi vos cycles, pour séparer ce qui est sacré de ce qui est profane, et ce qui est contaminé de ce qui est pur, et enseigner aux enfants d'Israël toutes les lois que Yahou, "Dieu Propriétaire Créateur Conservateur de toutes choses étant le Socle qui les soutient et les gouverne", leur a données par Menaschè." Lévitique 10:9, 10. "Mais vous, vous êtes une race élue, une sacrificature royale, une nation sainte, un peuple que Dieu s'est racheté, ayant pour office de proclamer les perfections de Celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière." 1 Pierre 2:9.

 

"Et ne vous enivrez pas de vin : c'est la source de la débauche ! Mais enivrez-vous de l'Esprit ! " Ephésiens 5:18.

 

"Il faut donc que le surveillant soit au-dessus de tout reproche, mari d'une seule femme, abstinent, sage, honorable, hospitalier, capable d'enseigner, abstinent des lieux où l'on boit le vin, non batailleur mais doux, non chicanier, n'aimant pas l'argent, (...) De même, que les diaconesses soient dignes, non médisantes, abstinentes, fidèles en toutes choses." 1 Timothée 3:2, 3, 11. Le surveillant est le modèle de conduite à suivre pour tous les chrétiens de l'Eglise.

 

"Car il faut que le surveillant soit au-dessus de tout reproche comme administrateur de la maison de Dieu, qu'il ne soit ni arrogant, non colère, abstinent des lieux où l'on boit le vin, non batailleur, non avide d'un gain honteux ; mais hospitalier, zélé pour le bien, sage, juste, pieux, maître de ses passions. (...) Mais toi, prêche les choses inspirées et conformes à la saine doctrine : que les vieillards soient abstinents, dignes, sages, robustes dans leur foi, leur amour, leur endurance." Tite 1:7, 8 ; 2:1, 2.

 

"Le fruit de l'Esprit, au contraire, est l'amour, la joie, la paix, la patience, la douceur, la bonté, la fidélité, la bienveillance, l'abstinence." Galates 5:22, 23.

 

 

C'est pourquoi, il était rappelé l'importance de l'abstinence d'alcool à toute la prêtrise juive en Lévitique 10:9, 10. La prêtrise chrétienne pure est soumise elle aussi à plus forte raison à l'abstinence de ce produit impur. Ce sont aussi les fidèles exemples donnés par Notre Maître Yahoushoua l'Oint et tous les premiers chrétiens pendant quatre siècles depuis le berceau de l'Eglise.

 

Le Fils de Dieu ne buvait pas de vin au repas : Nombres 6:2-7, 13-20 ; Amos 2:12.

 

Les premiers chrétiens étaient connus pour leur non-consommation d'alcool. 

 

Jacques, frère du Seigneur, Ange de l'Eglise à Jérusalem : "Il était saint de la matrice de sa mère : et il ne but ni vin ni liqueur forte, et il n'a pas mangé de viande." Hegesippus (cela est confirmé par Epiphane (hoeres. 78, C. XIII, XIV) et Eusèbe (I. II. C. XXIII)).

 

L'Apôtre Paul : "Jésus m'a commandé de ne pas manger de viande et de ne pas boire de vin, mais de consommer seulement pain, eau et fruits, pour être pur lorsqu'il veut parler avec moi !" "Paroles de Paul", Toletoth Jeschu. Ed-Krauss. Berlin 1902.

 

Jérôme (331-420) "La consommation de vin a commencé avec celle de la viande après le déluge. Cette dernière était inconnue jusqu'au déluge, mais après celui-ci, on a mis dans la bouche des hommes les fibres et les jus nauséabonds de la chair animale, tout comme dans le désert on a jeté des cailles au peuple mécontent et révolté. Jésus-Christ, qui est apparu lorsque le temps en fut venu, a uni à nouveau la fin au commencement, afin que nous ne consommions plus de chair animale." ; "Les mets purs sont les mets préparés sans répandre de sang" Adversus Jovonanum I, 30. 

 

Pendant les quatre premiers siècles de l'histoire de l'Eglise, les fidèles chrétiens ne mangeaient pas d'animaux et ils ne buvaient pas d'alcool car ils faisaient la volonté du Père exprimée dans le jardin d'Eden et par son Fils. Témoignages en Terre Sainte, à Byzance, en Asie mineure, en Syrie, en Grèce, à Alexandrie (Egypte). 

 

 

L'Empereur romain païen Constantin le Grand, qui fit un sacrifice à Zeus la veille de sa mort en 337 de notre ère, établit des correctores pour trier les écrits des chrétiens (qui contenaient une soixantaine d'Evangiles) et il fut responsable de l'assassinat dans d'atroces tortures des chrétiens fidèles qui refusaient de manger de la viande et de boire de l'alcool. Les textes bibliques furent alors bricolés pour harmoniser ceux-ci à la volonté de l'Empereur romain païen Constantin le Grand, de vivre à la romaine et non selon l'enseignement de Yahoushoua l'Oint (Jésus-Christ). Voir Professeur Nestlé "Introduction to the Textual Criticism of the Greek Testament" et le commentaire du théologien G. Ousley dans la préface de "l'Evangile des Douze Saints" aux Editions Humata (1988). 

 

Affranchissez-vous des tromperies des évêques de Rome, de leur bible falsifiée et de l'alcool !

 

L'abstinence de vin est une condition requise pour être chrétien. Il s'abstient aussi d'être présent dans les lieux où l'on consomme l'alcool. 1 Timothée 3:2, 3, 11 ; Tite 1:7, 8 ; 2:2 ; 1 Pierre 2:9. Ce sont les vrais sens des termes grecs "nepho", "nephalios", "me paroinos". Voir le sens de ces mêmes mots en 1 Timothée 3:8 ; 1 Thessaloniciens 5:6-8 ; 1 Pierre 4:4 ; 5:8. Un chrétien fidèle n'est pas modérément fornicateur ou un peu adultère. Il doit être entièrement fidèle et pur sexuellement. C'est le même mot avec son même sens qui est utilisé pour interdire le vin au chrétien pur. Le chrétien pur est entièrement abstinent du vin durant sa prêtrise terrestre (Lévitique 10:9).

 

Actes 2:13. Le terme grec "gleukos" est identique à "mustum" en latin. Il est bien différent du terme grec "oinos glukus" signifiant "vin doux". En Actes 2:13, c'est le terme grec "gleukos =mustum". A Jérusalem, à la Pentecôte, lorsque les chrétiens reçurent les dons de l'Esprit-Saint, vers 9 heure du matin, leurs calomniateurs ironisaient à leur sujet en disant : "Ces buveurs de jus de raisin, ils se sont soûlés avec du jus de raisin !" C'était une ironie qui puisait sa puissance dans le fait bien connu que tous les chrétiens ne buvaient jamais de vin ou tout autre produit de la fermentation.

 

Galates 5:22, 23 et 1 Corinthiens 9:25. Terme "enkrateia" qui désigne l'abstinence totale. Lire 1 Jean 3:3.

 

Réponse aux questions :

 

1 Timothée 5:23 "prends un peu de vin, à cause de ton estomac et de tes fréquentes indispositions" : le verbe "prends" désigne une prescription d'un médicament. De plus, si nous lisons le verset en entier, Paul lui dit : "cesse de boire uniquement de l'eau". Cela signifie clairement que Timothée ne buvait que de l'eau ! Pourquoi ? Parce que les chrétiens étaient abstinents. En réalité, c'est du jus de raisin non fermenté que l'apôtre Paul lui conseilla de prendre. Pline, contemporain des apôtres, conseilla lui aussi de donner du vin non fermenté (adynamos : le vin sans force). Athénée l'avait fait auparavant en conseillant le vin non fermenté (appelé protropos). En fait, l'apôtre Paul ne conseilla jamais Timothée de désobéir au Seigneur. Il ne conseilla jamais de boire du vin alcoolisé avec modération pour le plaisir. Timothée, Paul et tous les fidèles chrétiens étaient abstinents (1 Timothée 3:2, 3, 11 ; Tite 1:7, 8 ; 2:2 ; 1 Pierre 2:9).

 

 

Psaumes 104:14, 15 "le vin qui réjouit le coeur de l'homme" : le terme hébreu "yayine" désigne ici le jus de raisin non fermenté. Cette boisson douce réjouit plus que l'huile, car les serviteurs de Dieu sucraient le jus de raisin avec du miel. Le terme hébreu "yayine" désigne du raisin non fermenté en Esaïe 16:10 et Jérémie 40:10, 12. Le terme hébreu "tirôche", traduit par "vin" par la Septante, désigne aussi du jus de raisin non fermenté en Psaumes 4:8 et Esaïe 65:8. 

 

Jean 2:10 Aux noces à Cana : affirmer qu'il s'agissait de vin alcoolisé, c'est porter atteinte à l'intégrité morale de Yahoushoua l'Oint car il aurait été responsable moralement. En fait, l'adjectif "kalos" décrivant le "vin" signifie l'excellence morale ! Ce n'est pas l'adjectif "agathos" signifiant "bon". L'expression "est enivré" (methuskomai) signifie en fait "bu copieusement" sans intoxication. C'est ce que confirme la traduction Maredsous. De plus, la fermentation est un symbole de la corruption. En réalité, il était interdit de boire des boissons alcoolisées lors des fêtes sacrées dont les noces juives. Témoignage du Talmud. Enfin, "les meilleurs vins" étaient à cette époque ceux dont on avait enlevé la force alcoolique par l'ébullition ou la filtration (témoignages de Pline et de Plutarque). Ainsi, il n'y avait pas une seule goutte d'alcool mais plutôt un excellent pur jus de raisin non fermenté aux noces de Cana relatées en Jean 2:10 !

 

Luc 5:38 "il faut mettre le vin nouveau dans des outres neuves !" : le terme désigne du jus de raisin non fermenté (le moût frais non fermenté). C'est pour cela qu'il ne doit pas être mis dans des vieilles outres. Car le jus de raisin non fermenté serait contaminé par les dépôts des parois des vieilles outres. Ces dépôts feraient alors fermenter le jus de raisin pur. Cette illustration enseigne le danger de la corruption des Pharisiens et de leur système. Les nouveaux convertis au Seigneur doivent s'en tenir éloignés étant rassemblés dans des assemblées nouvelles. On doit donc mettre le jus de raisin non fermenté dans des outres neuves car il ne fermentera pas ainsi. Donc, Luc 5:38 prouve plutôt la consommation du jus de raisin non fermenté et non celle du vin alcoolisé ! De plus, par cette illustration, Notre Seigneur donne son point de vue sur la fermentation du jus de raisin. C'est une corruption, une impureté à éviter !

 

Matthieu 11:19 ; Luc 7:33, 34 "mangeant et buvant, et vous dites : "C'est un glouton et un buveur" : il s'agit d'une expression idiomatique. Jean le Baptiseur est venu "ne mangeant pas et ne buvant pas" en ce sens qu'il n'avait pas de vie sociale car il était retiré et solitaire. Notre Seigneur est venu "mangeant et buvant", c'est-à-dire, en vivant socialement. Il ne s'isola pas de la société. Dans cette réponse, sciemment il ne précisa ni ce qu'il mangeait ni ce qu'il buvait. Il ne mentionne pas à son sujet le pain et le vin. Puis, traiter Notre Seigneur de buveur est une calomnie basée sur aucun fait. C'est une fausse accusation dans le but de salir, tout comme celle d'affirmer qu'il avait un démon (voir Jean 7:20 ; 8:48). Se servir de ces paroles calomnieuses pour croire que Notre Seigneur buvait du vin alcoolisé, c'est aussi croire qu'il avait un démon en lui. 

 

Matthieu 26:29 ; Marc 14:25 ; Luc 22:18 "Je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne" : le terme "gennema" traduit "fruit" désigne l'état naturel de la vigne et non le fruit de la fermentation. C'est ainsi que l'on appellait le jus doux non fermenté du raisin frais pressé : fruit de la vigne (témoignage de l'historin Josèphe). De plus, la Loi divine interdisait toute chose fermentée durant la Pâque. Lire Exode 12:15 ; 13:6, 7. Notre Seigneur observa scrupuleusement la lettre et l'esprit d'abstinence de toute chose fermentée car la fermentation est la corruption et la décadence. Ainsi, la beauté et l'incorruptibilité de son sang parfait était bien enseignées par ce doux jus de raisin frais pressé et par le rejet du vin alcoolisé. La pratique de presser du raisin frais directement dans la coupe pour communier fut préservée par l'Eglise d'Abyssinie, celle en Asie occidentale, en Inde, dans les monastères Coptes en Egypte, en Perse. Thomas d'Aquin l'attesta.  

 

1 Corinthiens 11:21 "tandis que l'autre est ivre" : il s'agit d'une perversion locale condamnée par l'apôtre. De plus, le terme "methuei" rendu par "ivre" est opposé au terme "peina" rendu par "faim". Le contexte exige que le terme "methuei" soit traduit par son sens général "rassasié" et non ivre. Comme en Psaumes 23:5 ; 65:10 ; Jérémie 31:14. Il s'agit en 1 Corinthiens 11:21 de la nourriture et non de la boisson ! Voir Clément d'Alexandrie, Chrysostome, Grotius.

 

Ephésiens 5:18 "ne vous enivrez pas de vin" : il s'agit d'une antithèse. Le vrai sens du texte est : "ne vous enivrez pas de vin mais enivrez-vous de l'Esprit." De plus, en grec le terme oinos "de vin" est placé AVANT  les termes "en quoi". Cela signifie que c'est le vin qui est mauvais et non l'ivresse. Dans ce verset, c'est le vin lui-même qui est une corruption ! Proverbes 23:31 condamne lui-aussi non l'abus mais l'usage du vin. C'est une grave erreur que d'affirmer que la Bible condamne seulement l'abus d'alcool et tolère la consommation modérée du vin. En fait, ce n'est pas la quantité mais la nature de ce produit qui est condamnée par l'Ecriture divine. Le vin est un narcotique. 

 

Bon nombre de Païens, qui observent sans le savoir l'ordre divin de ne pas manger les animaux et de ne pas boire d'alcool, sont profondément choqués en constatant la conduite et les propos d'un milliard de "chrétiens". Ces chrétiens de nom par leurs infidélités (à leur baptême et aux enseignements divins) jettent l'opprobre sur Dieu et sur sa véritable Eglise. On parle en mal de la Voie de la vérité. Combien y a-t-il de problèmes liés à l'alcool parmi ceux qui se prétendent chrétiens ? A la vue de la situation d'aujourd'hui, tous les chrétiens fidèles des premiers temps de l'Eglise, ayant payé de leur vie humaine leur abstinence de viande et d'alcool, sont profondément attristés ! Chrétiens, chrétiennes, revenez de vos infidélités et abstenez-vous de toute viande et d'alcool ! Devenez saints car Yahou est trois fois Saint !