PREUVES DE LA PRONONCIATION EXACTE YA:HOU:(H) PAR LES FIDÈLES ADORATEURS DE DIEU :

1) La plupart des Papyrus traduisent YHWH non par le titre "Père" ou "Seigneur" mais par "IàW" qui se prononce JAO en latin ! Pourquoi une telle traduction ? Car en hébreu, la prononciation est Ya:ḥou:(h), sinon ils n'auraient jamais pu traduire par JAO en Latin (Y=J et OU=O). Ces Papyrus attestent la prononciation Ya:ḥou:(h) de YHWH. RIEN n'atteste la prononciation au premier siècle Père ou Dieu ou Seigneur ou Eternel pour YHWH. Les titres "Père", "Dieu", "Eternel", "Seigneur" ne correspondent ABSOLUMENT PAS aux consonnes de YHWH. D'autres mots existent en hébreu pour ces titres. 

2) La colonie juive d'Eléphantine en Egypte, qui reconstruisit le Temple de Jérusalem à l'identique, utilisait encore fidèlement Ya:ḥou:(h) pour prononcer YHWH.

3) Beaucoup d'objets de piété des premiers siècles, les abraxas chrétiennes, appelés par erreur talismans chrétiens contiennent l'inscription Ya:ḥou:(h). Voir Gori (Thesaurus gemmarum antiquarum astriferarum, Florentiae, 1730, 3, vol, in-fol.) et Bellermann (Versuch uber die Gemmen der Alten mit dem Abraxas-Bilde, Berlin, 1820, II Stuck, p. 21, III, 6, etc.) ; 

4) C'est la prononciation ancestrale des Juifs, attestée par Diodore de Sicile (historien et chroniqueur grec du 1er siècle avant notre ère), Macrobe, Clément d'Alexandrie (Strom. I. v. ; V, 6 ; PG, IX, Col. 60), Origène (Oper., t.II, p.45, Edit. Huet ; In Joan., II, 1 ; PG, XIV, Col. 105), Jérôme (ad psal. VIII), Irénée (advers. hoereses, I. II, c. 66), Epiphane (adv. hoeres, I. I), Théodoret (Quaest. 13 in Exodum)

5) La prononciation Ya:ḥou:(h) pour YHWH est de loin supérieure aux prononciations complètement illogiques "Père" ou "Seigneur" ou "Dieu" ou "Eternel" mises à la place de YHWH ! D'autres mots sont utilisés en hébreu pour ces titres mais JAMAIS YHWH !

6) Les érudits savent très bien prononcer YHWH car ils le prononcent correctement dans les noms propres des prophètes et des rois, noms composés avec YHWH ! Depuis longtemps, ces érudits prononcent le Nom YHWH par Ya:ḥou:(h) dans ces noms ! Exemples : La Nouvelle Bible SEGOND 2002 Edition d'Etudes, en 1 Rois 17:1 note en bas de page + Bible du Rabbinat en 2 Rois 20:11 YHWH est vocalisé correctement par Ya:ḥou:(h) !

7) En Isaïe 37:1, la massore ponctue elle-même YHW(H) par Ya:hou:(h) dans le nom hébreu du roi d'Israël traduit Ezéchias (nom composé de YHW(H)). 

8) Le témoignage archéologique du 8ème siècle avant notre ère atteste la prononciation Ya:ḥou:(h) de YHWH ! Dans l'inscription du roi assyrien Sennachérib, YHWH est transcrit trois fois Yahou(h). Deux fois dans le nom hébreu du roi "Ezéchias" (HA-ZA-QI-YA-HU). Une fois dans l'adjectif "Juif" (YA-HU-DA-AI). L'écriture puis la prononciation hébraïque "Ezéchias" et "Juif" contiennent le Nom sacré Ya:ḥou:(h) comme beaucoup d'autres noms hébraïques. (Prisme de Sennachérib, colonne II, l. 71, colonne III).

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9) Saint Jérôme, savant de la langue hébraïque, transcrivit YHWH par Ya:hou:(h) partout dans sa traduction latine, "la Vulgate". Attestation des premières copies manuscrites de sa traduction. Les manuscrits tardifs furent ensuite falsifiés, comme furent aussi remaniés plus tard les manuscrits de la traduction grecque des Septante "LXX". La comparaison entre les manuscrits l'atteste suffisamment.

La prononciation YHWH est riche en significations sacrées comme cela fut démontré ci-dessus. Les scribes (et ceux qui les soutiennent) qui remplacent la prononciation Ya:ḥou:(h) par "Père" ou "Seigneur (Kurios)" ou "Dieu" ou "Eternel", désobéissent à Dieu. Ils ne sanctifient pas mais déshonorent son Nom sacré. De quel droit remplacent-ils la prononciation de YHWH par la prononciation de titres inférieurs ? C'est une hérésie et un péché grave !

Que penseraient ces Messieurs, si l'on enlevait leur nom propre inscrit dans leurs livres vendus dans le monde ?

Que penseraient, ces Messieurs, si l'on remplaçait leur nom propre par un titre comme Auteur, Papa ou Monsieur ?

Ne crieraient-ils pas au crime ? A l'atteinte de leur personne ? 

De quel droit remplacent-ils alors le Nom propre de Dieu, celui qui est le plus sacré, par des titres inférieurs ?

Ne serait-on pas en droit de penser qu'ils se soucient plus de la protection de leur nom propre que de celui de Dieu ?

Toutes ces personnes qui s'affichent comme "chrétiennes", refusant obstinément d'utiliser la prononciation Ya:ḥou:(h) pour YHWH, substituant à YHWH des titres "Père", "Dieu", "Éternel", "Seigneur", transgressent de par leur fait le 7ème Commandement de Notre Seigneur Ya:ḥou:(h)-Shoua(-Mirya:m ("Jésus"). 

"SEPTIÈME COMMANDEMENT : Vous vous prosternerez devant le Père-Mère des Mondes ! L'Un Eternel ! De qui sont toutes choses ! Vous révérerez le Saint Nom !" Évangile de la Vie Parfaite de Ya:ḥou:(h)-Shoua(-Mirya:m 46:16.

A une certaine époque, les Autorités Juives corrompues, ne prononcèrent plus en public ce Nom sacré, prétextant ne pas vouloir le blasphémer. Le Fils de Dieu et les fidèles chrétiens ne les imitent pas ! Jean 17:6, 26.

En fait, ces mêmes Autorités Juives se contredisaient car elles prononçaient YHWH dans les noms des prophètes et des rois et Alléluia ! 

En réalité, par cette tradition humaine annulant la Parole écrite de Dieu, ils péchèrent gravement en amenant beaucoup de personnes à oublier ce Nom glorieux qui doit être proclamé et aimé sur toute la terre. "Ainsi vous avez annulé la parole de Dieu à cause de votre tradition. Hypocrites, Isaïe a bien parlé en prophète sur vous, quand il a dit : "Ce peuple m'honore des lèvres, mais son coeur est très éloigné de moi. C'est en vain qu'ils me rendent un culte, eux qui enseignent comme doctrines des commandements humains." Matthieu 15:6-9.

Pourquoi le Fils de Dieu et les premiers chrétiens n'imitèrent pas ces Juifs qui s'abstenaient de prononcer YHWH :

"Car du lever du soleil jusqu'à son coucher, mon Nom sera grand parmi les nations ! En tout lieu, on fera de la fumée sacrificielle ! On présentera à mon Nom ! Oui, une offrande pure ! Car mon Nom sera Grand parmi les nations !" A commandé Ya:ḥou:(h) des Armées ! (...) Car je suis un Grand Roi !" A commandé Ya:ḥou:(h) des Armées ! "Mon Nom sera redoutable parmi les nations !" Malachie 1:11, 14. Ya:ḥou:(h)-Shoua ("Jésus") et ses Apôtres prononçaient Ya:ḥou:(h) (YHWH) et non Kurios (Seigneur) pour réaliser ces paroles !

Ya:ḥou:(h)-Shoua( a aussi Ya:ḥou:(h) dans son nom. Ya:ḥou:(h)-Shoua( est le vrai nom hébreu du Fils de Dieu reçu à sa naissance. "Jésus" vient du grec iesus. A sa naissance, le Fils de Dieu n'a pas reçu un nom grec !

Retrancher la prononciation Ya:ḥou:(h) et mettre Dieu, Seigneur, Père, c'est retrancher une partie du nom du Fils de Dieu ! 

S'abstenir de prononcer le Nom sacré du Père, c'est avoir un comportement opposé à celui des fidèles Noé, Abraham, Moïse, David et tous les fidèles prophètes. Notre Seigneur Ya:ḥou:(h)-Shoua(  (Jésus) et ses Apôtres prononçaient le Nom Sacré du Père. Matthieu l'écrivit dans l'Evangile.

"Comme il y pensait, l'ange de Ya:ḥou:(h) (YHWH) lui apparut (...)" Matthieu 1:20 (Le saint Tétragramme YHWH est présent dans ce verset : Voir J.Darby ; C. Tresmontant ; A. Chouraqui ; S. Münster ; The New Covenant Commonly Called The New Testament - Peshitta Aramaic Text With a Hebrew Translation par The Bible Society - Jérusalem 1986 ; United Bible Societies Jérusalem 1979 ; F. Delitzstch Londres 1981 ; I. Salkinson, C. Ginsburg Londres 1891 ; J. Biesenthal Londres 1866 ; W. Roberstson Londres 1661 ; G. Jona Rome 1668 ; R. Caddick London 1798-1805 ; T. Fry et al. Londres 1817 ; W. Greenfield Londres 1831 ; A. McCaul et al London 1838 ; J. Reichardt Londres 1846 ; J. Cinquarbres ; E. Hutter Nuremberg 1599 ; J. Bauchet ; D. Kinnereth Rome 1975 ; H. Heinfetter London 1863).

"Nous savons, à présent, que dans le texte de la Bible grecque, pour autant qu'il fut rédigé par des Juifs et à l'intention des Juifs, on ne traduisit pas le Nom divin par Kurios, mais on conserva dans les manuscrits le Tétragramme écrit en caractères hébreux ou grecs." Dr. Paul E. Kahle dans "Le Trésor du Caire" (deuxième édition 1959). C'est moi qui souligne en gras et en rouge .

F. Delitzsch (Londres 1981) met le Nom YHWH dans la version hébraïque du livre de Matthieu !

La Bible de Chouraqui (1985) met YHWH dans le "Nouveau Testament" ! 

C. Tresmontant met YHWH dans les Evangiles et l'Apocalypse !

La Bible de Darby met YHWH en Matthieu 1:20 (voir sa note) !

Le manuscrit hébreu du "Nouveau Testament"  par United Bible Societies à Jérusalem en 1979, emploie YHWH !

Le manuscrit hébreu du "Nouveau Testament" par J. Bauchet, D. Kinnereth à Rome 1975, utilise YHWH ! 

Pourquoi ? Car c'est une réalité incontestable que le Nom le plus sacré qui soit, YHWH, est dans le "Nouveau Testament" et que c'est sa place légitime !

Faut-il déclarer hérétiques et brûler tous les manuscrits bibliques qui contiennent YHWH dans le "Nouveau Testament" et ces Bibles qui le portent, pour faire plaisir à ces Messieurs qui luttent contre Ya:ḥou:(h), Père-Mère des Mondes ? Jamais de la vie !

Même s'ils doivent mettre l'accent sur le Nom du Fils (Actes 1:8 ; 2:36, 38 ; 10:36, 43, 48 ; 1 Corinthiens 5:4), les fidèles chrétiens n'ont pas le droit de s'abstenir de prononcer le Nom sacré du Père : Ya:ḥou:(h) (YHWH).

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"Je regardai encore, et voici que la Licorne se tenait sur la montagne de Tsiyyône et, avec lui, cent quarante-quatre mille personnes ayant son nom et le nom de son Père gravés sur leurs fronts." Apocalypse 14:1. Voir Matthieu 28:19, 20.

Pourquoi les prononciations "Jéhovah" et "Yehowah" sont incorrectes : 

Des Juifs apostats ajoutèrent des signes de renvois au Nom sacré, pour indiquer la lecture hérétique de substituts au lieu du Nom sacré. Ces signes ne devaient jamais être lus. Ils n'étaient pas faits pour cela. Ils indiquaient seulement des mots de substitution "Elohim" et "Adonay". Certains commettent l'erreur de lire ces signes et disent Jéhovah ou Yehowah !

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En réalité, Jéhovah est le nom du démon qui domine les douze constellations à partir de la treizième "Les Pléiades". C'est le dieu des Ténèbres. Le démon Jéhovah est le père de Yaltadabaôth. Son Ancêtre est le Grand Adamas qui est Satan le Diable.

Dans la préface de la Revised Standard Version nous lisons ceci : "Le Comité est revenu à l'usage plus familier de la King James Version pour deux raisons : 1) A proprement parler, le terme 'Jéhovah' ne correspond à aucune forme du nom divin qui ait jamais été utilisée en hébreu." 

"Jéhovah ? J'avoue ingénument, qu'elle ne me paraît pas naturelle et légitime."

(Dictionnaire hébraïque Le Chevalier LEIGH - Amsterdam. Chez Rudolph/Gérard Wetstein. MDCCXII. P. 785.)

"A la place, les Israélites lisaient Adonaï (le Seigneur). Les voyelles de ce mot ont été combinées aux quatre consonnes (YHWH) du nom de l'Eternel, ce qui a donné la lecture, fautive, Jéhovah. (...) La prononciation Yahvé, proposée dans des versions récentes, repose sur quelques témoignages anciens qui ne sont pas décisifs : on pourrait tout aussi bien reconstituer la prononciation en Yaho ou Yahou." Bible Segond (révisée). 

Effectivement, les Juifs prirent l'habitude de remplacer des noms par d'autres noms durant leur lecture. Pour rappeler le remplacement de la lecture d'YHWH par les titres 'Adonay et 'Elohim à la place de la lecture d'YHWH, ils indiquèrent les voyelles des titres 'Adonay et 'Elohim sous les consonnes de YHWH. Beaucoup ne comprenant pas cette technique de lecture et son but, crurent que c'était la prononciation du Nom de Dieu. Quelle ERREUR MONUMENTALE ! 

"Beaucoup de lecteurs de la Bible se sont mépris sur le vrai caractère de ce Qerê(y) perpétuel" ! "On s'est accoutumé à unir aux consonnes les voyelles qui les affectent, MAIS QUI NE SONT PAS FAITES POUR ELLES, et l'ON EST ARRIVE AINSI A CE BARBARISME YEHOWAH QUE L'ON A PRIS POUR LE NOM PROPRE DE DIEU CHEZ LES JUIFS" ! Grammaire hébraïque abrégée. Ecriture, II, Les voyelles, page 82. 

Personne n'a le droit d'affirmer qu'en hébreu le Tétragramme YHWH se prononçait "Jéhovah" en latin. Ce n'est pas vrai. Il n'y a aucun fondement à une telle assertion. Cette forme "Jéhovah" est une pure invention humaine, très contestée dès son origine car sans fondement légitime. 

Diodore de Sicile (Historien et chroniqueur grec au premier siècle avant notre ère), Clément d'Alexandrie, Origène, Jérôme de Stridon, Macrobe, attestèrent que le Nom du Père, YHWH, se prononçait en latin JAO. Les Hébreux prononçaient Ya:ḥou:(h). Les Latins prononçaient JAO. Voir aussi Sanchoniathon et "Greek Papyri of the Br. Mus." Kenyon, 1893. p.68.

"Ce nom est une des transcriptions innombrables du (Tétragrammaton) hébreu (nom de Jéhovah) : la forme la plus commune dans les papyrus est 'Iàw." (Bulletin de correspondance hellénique - Thorin (Paris) Perris (Athénai) 1914. P. 195 A. Delatte.) 'Iàw en grec se lit JAO et non Jéhovah. 'Iàw traduit l'Hébreu YHWH.

Ya:ḥou:(h) n'est pas de l'araméen mais de l'Hébreu. En Isaïe 37:1, la massore ponctue elle-même YHW(H) par Ya:hou:(h) dans le nom hébreu du roi d'Israël traduit Ezéchias (nom composé de YHW(H)). 

Précision supplémentaire : "Ce nom ne se lit jamais avec un H emphatique, parce qu'il est lui-même si plein d'emphase et d'énergie que par sa force et son évidence propre il marque et exprime le sujet auquel il est attribué : il ne se lit jamais avec des affixes". C'est pourquoi, on ne prononce pas le hé final. 

Indubitablement, la prononciation et l'écriture Ya:ḥou:(h) est beaucoup plus ancienne que l'écriture et la prononciation "Jéhovah". Elle seule est fondée ! C'est un fait historique incontestable. Par conséquent, vous comprendrez que, par un profond amour et respect pour le Nom du Père et toute Sa Parole, nous préférons utiliser Ya:ḥou:(h) qui est "la forme la plus commune dans les papyrus 'IàW " que la forme Jéhovah qui n'a pas ce profond fondement légitime. De fait, rappelons que l'ancienne colonie juive d'Eléphantine en Egypte utilisait encore Ya:ḥou:(h). Les Juifs portaient en médaillon le Nom du Père, JAO.

En réalité, Ya:hou:(h) (YHWH) a jugé et condamné le démon des pléiades Jéhovah.

Car, "Jéhovah" est le nom d'un démon. C'est le démon des Pléiades. Il est le dieu de Ténèbre.

Le père de Jéhovah est Satan le diable, appelé aussi le grand Adamas le Tyran. Jéhovah est le père de Yaldabaôth. 

C'est pourquoi, obéissant au commandement du Père de sanctifier son Nom, restant attachés aux Traditions des Apôtres et de Notre Seigneur, nous utilisons le Nom sacré Ya:ḥou:(h) partout où le Nom du Père YHWH apparaît dans sa Parole écrite. Nous utilisons et défendons le Nom du Père. 

Que penseriez-vous d'une personne qui effacerait votre nom propre écrit de votre propre main sur un de vos tableaux de peinture ? C'est pourquoi, nous nous opposons à tous les traducteurs de la Bible et à tous ceux qui continuent de blasphémer le Père en commettant ce  grave péché d'effacer, d'omettre, de masquer le Nom sacré YHWH par des titres ETERNEL ou SEIGNEUR. Nous les invitons tous, par les miséricordes précieuses et patientes de Notre Seigneur, à se repentir sincèrement de ce grave péché.

Proclamez et défendez le Nom sacré du Père autant que celui du Fils. L'un n'est pas supérieur à l'autre. Celui qui n'honore pas l'un, n'honore pas l'autre. "Car le Père ne juge personne, mais il a remis tout le jugement au Fils, afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Qui n'honore pas le Fils n'honore pas le Père qui l'a envoyé." Jean 5:22, 23. "Dieu dit encore à Moïse : "Tu diras aux Israélites : "C'est Ya:ḥou:(h) (YHWH), le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob, qui m'a envoyé vers vous." C'est là mon nom pour toujours, c'est mon nom tel qu'on l'évoquera de génération en génération." " Exode 3:15.

Honorerez-vous Ya:ḥou:(h) (YHWH), le Nom personnel et sacré du Père, suivant fidèlement les exemples placés devant vous tels Noé, Abraham, Moïse, David, Jérémie, Daniel, Jean le Baptiseur, le Fils de Dieu et les apôtres  ?

Ou imiterez-vous ceux qui le méprisent en vous abstenant de l'utiliser dans votre vie et votre culte ? 

Peut-on dire que vous honorez votre père si vous ne prononcez jamais son Nom ? 

Obéissez au commandement de Dieu de sanctifier le Nom du Père. "Ainsi parle le Seigneur Ya:ḥou:(h) (YHWH) : (...) Je montrerai ma grandeur et ma sainteté, je me ferai connaître sous les yeux d'une multitude de nations ; ainsi elles sauront que je suis Ya:ḥou:(h) (YHWH)." Ezéchiel 38:17, 23. 

"Alors ceux qui craignent Ya:ḥou:(h) (YHWH) se parlèrent l'un à l'autre ; Ya:ḥou:(h) (YHWH) fut attentif, il entendit. Un livre d'évocation fut écrit devant lui pour ceux qui craignent Ya:ḥou:(h) (YHWH) et qui respectent son nom." Malachie 3:16.

YA:ḤOU:(Ḥ)-SHOUAGUE-MIRYA:M, Fils-Fille

La Majestueuse Divinité multiple et Toute-Puissante Autorité Gouvernementale Judiciaire se révéla ensuite en l'Homme qui porte le nom de Ya:ḥou:(h)-Shoua(-Miryam en hébreu. Le Fils vint sur terre et porta un nom riche de sens. Voici la signification en hébreu de Ya:ḥou:(h)-Shoua( : "Ya:ḥou:(h) est Salut", "Salut de Ya:ḥou:(h)", "Délivrance de Ya:ḥou:(h)". Ainsi, dans le Nom sacré du Fils, il y a aussi clairement le Nom sacré du Père-Mère. Quand les Juifs entendaient Ya:ḥou:(h)-Shoua(, ils entendaient aussi le Nom du Père : Ya:ḥou:(ḥ). Malheureusement, quand aujourd'hui les personnes entendent "Jésus", ils n'entendent pas le Nom du Père Ya:ḥou:(ḥ) ! Pourtant, le Fils porte dans son nom en hébreu le Nom sacré du Père. C'est pourquoi, nous utilisons le Nom sacré du Fils Ya:ḥou:(h)-Shoua( qui signifie "Ya:ḥou:(h) est Salut", "Salut de Ya:ḥou:(h)", "Délivrance de Ya:ḥou:(h)", fidèlement au texte sacré. Car ce qui importe, c'est que chaque humain qui entendra ou lira le Nom du Fils puisse penser immédiatement au Nom sacré du Père. C'est la pensée divine qu'attaque son adversaire Bélial. Il veut faire cesser la prononciation du Nom sacré du Père. En fait, ce sont les habitudes qui amoindrissent ou qui ne reflètent pas fidèlement la Parole de Dieu qui doivent être changées. Lire Matthieu 15:9.

"Ô ! Miryam ! Donc aussi, cette sainte créature qui naîtra de toi sera appelée l’Oint ! L’Enfant du « Dieu d’alliance Multiple Majestueux Tout-Puissant le plus Vaillant de tous, Juge et Gouverneur universel, Autorité Directrice s’engageant par serment, surpassant toute autorité les englobant éminemment en Elle, Créateur à qui toutes créatures sont engagées aussi par des malédictions ! » Son Nom sur la Terre sera crié : « Ya:ḥou:(h)-Shoua(-Miryam ! » Car il sauvera les gens de leurs péchés ! Ceux qui doivent se repentir et obéir à sa loi ! Par conséquent, vous ne mangerez ni chair animale ! Vous ne boirez ni boisson fermentée ! Car l'enfant doit être consacré à l’égard de Dieu, depuis l’utérus de sa mère ! Il ne doit prendre ni chair animale ni boisson fermentée ! Aucun rasoir ne doit toucher le toucher de sa tête ! Voici ! Ta cousine Èlishéba ! Elle a également conçu un fils dans sa vieillesse ! C'est le sixième mois, pour elle, qui était appelée stérile !" Evangile de la Vie Parfaite de Ya:ḥou:(h)-Shoua(-Miryam. Voir la rubrique "Ecriture de Dieu" sur les preuves de la canonicité de cet Evangile authentique.

Miryam signifie "amertume de la mer". Le Fils porte le nom composé Ya:ḥou:(h)-Shoua(-Miryam  car il change l'amertume de l'humanité en douceur.

De plus, le terme Christ vient du grec Khristos utilisé pour traduire l'hébreu Maschiahh qui signifie littéralement Oint (hébreu masc, oindre). C'est pourquoi, afin de rendre audible le plus possible dans la langue française la pensée divine hébraïque, nous utilisons Ya:ḥou:(h)-Shoua-Oint à la place de Jésus-Christ.

Le Fils est vraiment Dieu (Dieu avec un « D » majuscule et non pas un dieu avec un « d » minuscule)

"Gardez en vous cette attitude mentale qui était aussi en Christ Jésus, lequel, bien que se trouvant dans la forme de Dieu, n'a pas considéré son égalité avec Dieu comme un butin à retenir jalousement ; mais il s'est vidé de lui-même en prenant la forme du serviteur étant devenu à la ressemblance des hommes." Philippiens 2:5-7, version standard courante. Le terme grec "huparchôn" traduit par "se trouvant" ou "étant" est un participe présent. Cela signifie que le Fils continue d’exister en tant que Dieu. Le terme traduit par "la forme" signifie "la substance". Notez la majuscule dans l'expression "la forme de Dieu".

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« Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie au moyen d’une philosophie trompeuse et vide, selon la tradition des humains, selon les éléments du monde, et non pas selon le Christ. Car c’est en lui qu’habite corporellement toute la plénitude de la Divinité » Colossiens 2:9, version standard courante. (Plénitude : mot grec « plêrôma » signifiant totalité. Divinité : même terme avec le même sens en Actes 17:27, 29)

" Une fois porté à son accomplissement, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent la Cause d'un salut éternel."

Hébreux 5:9.

Le Fils est la CAUSE ou l'AUTEUR du Salut. Il est DIEU. 

« Personne n’a jamais vu Dieu ; celui qui l’a annoncé, c’est le FILS UNIQUE DIEU qui est dans le sein du Père. » Jean 1:18.

"Les pères, et de qui est issu, selon la chair, le Christ, qui est au-dessus de tout, Dieu béni pour toujours! Amen!" Romains 9:5.

« Le vainqueur, je lui donnerai de s’asseoir avec moi sur mon trône, comme moi-même j’ai été vainqueur et je me suis assis avec mon Père sur son trône. » Apocalypse 3:21. Ya:ḥou:(h)-Shoua(-Miryam est assis sur le trône du Père.

« Car un enfant nous est né, un fils nous a été donné. Il a la souveraineté sur son épaule ; on l’appelle du nom de Merveilleux, Ambassadeur du grand Conseil, Dieu-Guerrier le plus Vaillant de tous, Père Protecteur Eternel, Prince de Paix. » Isaïe 9:5. L'Oint est appelé Dieu avec un « D » majuscule. En Isaïe 10 :21, c’est le Père YHWH qui est appelé « Dieu-Guerrier ». Si Ya:ḥou:(h)-Shoua(-Miryam l'Oint n’était pas Dieu, pourrait-il détenir le même Titre porté par le Père ? Manifestement non !

« Thomas lui répondit : Mon Seigneur, mon Dieu ! Ya:ḥou:(h)-Shoua( lui dit : Parce que tu m’as vu, tu es convaincu ? Heureux ceux qui croient sans avoir vu ! » Jean 20:28, 29. Thomas, l’un des Douze, n’a pas été irrévérencieux en s’exclamant ainsi. Ya:ḥou:(h)-Shoua( ne l’a pas corrigé ! Bien au contraire, il accentua que Thomas avait bel et bien acquis une conviction véridique fondamentale : le Fils est vraiment Dieu.

Le Fils a toujours existé. Il n'a pas été créé.

"Beré'shi:th était le Verbe. Le Verbe était auprès des dieux. Le Verbe était Dieu " Jean 1:1. 

"Était" traduit le terme grec "ên" conjugué ici à l’imparfait. Il signifie qu’il existait continuellement.

« Et toi, Bethléhem Ephrata, (…) de toi sortira pour moi celui qui doit dominer en Israël, et duquel les origines ont été d’ancienneté, dès les jours d’éternité. » Michée 5:2 (Michée 5:1 dans d’autres versions). Le terme hébreu traduit par « dès les jours d’éternité » signifie « de toujours ». C’est le même mot qui figure dans l’expression « pour toujours » en Michée 4:7 ; 2 Samuel 7:16 et Psaumes 104:5.

« Je viens bientôt, et j’apporte avec moi ma récompense, pour rendre à chacun selon son œuvre. L'Aleph et le Taw, le premier et le dernier, le commencement et la fin, c’est moi. » Apocalypse 22:12, 13.

« Ya:ḥou:(h)-Shoua( leur dit : Amen ! Amen ! Je vous le dis, avant qu’Abraham vienne à l’existence, je suis. » Jean 8:58. 

Il exprima ainsi son existence absolue d’éternité en éternité. 

En grec il y a deux verbes différents : l’un (génésthaï) se dit des êtres qui arrivent à l’existence dans le temps ; l’autre, (égô éïmi) n’indiquant aucun commencement, convient à l’existence éternelle et immuable.

La différence frappante entre les deux verbes témoigne de l’existence absolue du Fils qui se fait en conséquence semblable au Père.

Cette expression « Je suis » de Ya:ḥou:(h)-Shoua( est analogue à celles indiquées en Exode 3:14 ; Isaïe 41:4 (LXX) ; Isaïe 48:12. 

Cela suscita une réaction violente des Juifs car ils comprirent ce qu’elle insinuait : Ya:ḥou:(h)-Shoua se faisait égal au Dieu de l'Ecriture.

« Il me dit : Ces paroles sont certaines et vraies ; Ya:hou:(h), le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour montrer à ses esclaves ce qui doit arriver bientôt. (…) L'Aleph et le Taw, le premier et le dernier, le commencement et la fin, c’est moi. (…) Moi, Ya:ḥou:(h)-Shoua(, j’ai envoyé mon ange pour vous apporter ce témoignage au sujet des Eglises. C’est moi qui suis le rejeton et la postérité de David, l’étoile resplendissante du matin. (…) Celui qui atteste ces choses dit : Oui, je viens bientôt. Amen ! Viens, Seigneur Ya:ḥou:(h)-Shoua( ! Que la grâce du Seigneur Ya:ḥou:(h)-Shoua( soit avec tous ! » Apocalypse 22:6, 13, 16, 20, 21. Ya:ḥou:(h)-Shoua( affirma explicitement non seulement qu’il porte le même titre que le Père mais aussi qu’il partage sa Toute-Puissance car il est réellement aussi Dieu. 

« Jean, aux sept Eglises qui sont en Asie : Grâce et paix à vous de la part de celui qui est, qui était et qui vient, de la part des sept esprits qui sont devant son trône (…) C’est moi qui suis l'Aleph et le Taw, dit Ya:hou:(h) Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant. » Apocalypse 1:4, 8.

L'ESPRIT-SAINT

La Majestueuse Divinité multiple et Toute-Puissante Autorité Gouvernementale Judiciaire se révéla enfin dans la Personne du Saint-Esprit, un Tuteur semblable au Fils selon Jean 14:16, 26.

C'est réellement une Personne de la Majestueuse Divinité multiple et Toute-Puissante Autorité Gouvernementale Judiciaire. Lire Actes 10:19 ; Actes 13:2. Il est incontestable qu'il ne s'agit pas dans ces deux textes d'une "personnification", technique d'enseignement visant à faire passer une chose pour une personne.

Nous lisons clairement en Actes 5:3 : « Mais Pierre dit : « Ananias, pourquoi Satan t’a-t-il enhardi au point que tu veuilles tromper l’Esprit Saint et retenir en secret une partie du prix du champ ? » (« Que tu aies menti à l’Esprit Saint » ; « Que tu mentes au Saint-Esprit »). 

Trompe-t-on une force ou une personne ? Peut-on mentir à une force ? 

Ou n’abuse-t-on pas plutôt d’une personne ?

L’Esprit Saint « trompé » est bel et bien une personne selon l'Ecriture.

C’est ainsi que l’apôtre Pierre et l’évangéliste Luc le comprenaient.

Si ce n’était pas le cas, n’auraient-ils pas formulé autrement ce passage d’Actes 5:3 ?

Le Saint-Esprit est réellement une Personne. Elle est membre de la Majestueuse Divinité. L'Ecriture divine révèle puissamment que le Saint-Esprit n'est pas une force impersonnelle. Le Saint-Esprit a des sentiments, une mémoire, une intelligence et une volonté, caractéristiques d'une personne.

"N'attristez pas l'Esprit-Saint de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour un jour de rédemption." Ephésiens 4:30. 

L’Esprit saint possède des sentiments.

"Or c'est à nous que Dieu l'a révélé par l'Esprit. Car l'Esprit scrute tout, même les profondeurs de Dieu." 

1 Corinthiens 2:10. L’Esprit-Saint possède une intelligence.

"Mais c'est un seul et même Esprit qui opère toutes ces choses, distribuant à chacun en particulier comme il le décide." 

1 Corinthiens 12:11. L’Esprit Saint possède une volonté.

« Amen, je vous le dis, tout sera pardonné aux fils des hommes, péchés et blasphèmes autant qu’ils en auront proférés ; mais quiconque blasphème contre l’Esprit Saint n’obtiendra jamais de pardon : il est coupable d’un péché éternel. » 

Marc 3:28, 29. Blasphème-t-on contre une force ou une personne ?

« De même aussi l’Esprit vient au secours de notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu’il convient de demander dans nos prières. Mais l’Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables ; et celui qui sonde les cœurs sait à quoi tend l’Esprit : c’est selon Dieu qu’il intercède en faveur des saints. » Romains 8:26,27. A l’évidence, l’Esprit-Saint est un intercesseur et véritablement une personne.

« Pendant qu’ils célébraient le culte du Seigneur et jeûnaient, l’Esprit-Saint dit : Mettez-moi à part Barnabé et Saul pour l’œuvre à laquelle je les ai appelés. » Actes 13:2. Indiscutablement, l’Esprit Saint est non seulement une personne mais elle se fait entendre durant le culte de la véritable Eglise chrétienne.

L'Esprit-Saint est DIEU. Luc 11:20 ; Luc 12:10 ; Jean 4:14, 23, 24 ; Actes 1:8.

Le PERE-MERE, le FILS-FILLE et l'ESPRIT-SAINT habitent ensemble dans le croyant 

« L’Esprit de la Vérité, que le monde ne peut pas recevoir, parce qu’il ne le voit pas et qu’il ne le connaît pas ; vous, vous le connaissez, parce qu’il demeure auprès de vous et qu’il sera en vous. » Jean 14:17.

« Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui et nous ferons notre demeure auprès de lui. » Jean 14:23. (Note en bas de page : chez lui.)

« Garde toutes les belles choses qui t’ont été confiées au moyen de l’Esprit Saint qui habite en nous. » 2 Timothée 1:14.

"Quant à vous, vous n’êtes pas sous l’empire de la chair, mais sous celui de l’Esprit, s’il est vrai que l’Esprit de Dieu habite en vous. Et si quelqu’un n’a pas l’Esprit du Christ, il ne lui appartient pas. Or si le Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l’Esprit est vie à cause de la justice.Et si l'Esprit de Celui qui a réveillé Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a réveillé le Christ d'entre les morts fera aussi vivre vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous." Romains 8 :9-11. Il y a les Trois qui habitent dans le vrai chrétien : l'Esprit Saint "l'Esprit de Dieu habite en vous" + le Fils "le Christ est en vous" + le Père "l'Esprit de Celui qui a réveillé Jésus d'entre les morts habite en vous".

« C’est en lui que, vous aussi, vous êtes construits ensemble pour être une habitation de Dieu, dans l’Esprit. » Ephésiens 2:22.

« Que le Christ habite dans votre cœur par la foi et que vous soyez enracinés et fondés dans l’amour » Ephésiens 3:17.

« Ne savez-vous pas que vous êtes le sanctuaire de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? » 1 Corinthiens 3:16.

« Vous, mes enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, car celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. » 1 Jean 4:4.

« Celui qui reconnaît que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, comme lui en Dieu. Et nous, nous connaissons la tendresse que Dieu a pour nous, et nous l’avons cru. Dieu est Tendresse ; celui qui demeure dans la tendresse demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui. » 1 Jean 4:15, 16. 

"Un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, par tous et en tous." Ephésiens 4:6. 

(Tous ou tout, les deux sens étant possibles en grec).

La Très Sainte Trinité

Lire le dossier spécial biblique sur la Trinité et les erreurs des antitrinitaires (disciples d'Arius) à la rubrique "Témoins de Jéhovah".

« La confession de foi (Shema’) des Juifs basée sur Deutéronome 6:4 ne s’oppose pas à la Trinité. YA:ḤOU:(Ḥ)-SHOUA(-MIRYAM et ses disciples n’ont pas renié le Shema’ « Ecoute, ô Israël ! Ya:ḥou:(h) est notre Dieu, Ya:hou:(h) est un seul ». Voir le vrai texte de ce verset, dans le dossier biblique spécial Trinité à la dernière partie du document : 

"Témoins de Jéhovah : la Bible, Parole de Ya:hou:(h), leur répond"

(Cliquer sur le dessin pour lire ou télécharger)

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Le terme hébreu « eHad » traduit par « un seul » en Deutéronome 6:4 peut indiquer une unité composite. Il se trouve aussi en Beré'shi:th ("Genèse" selon les versions courantes) 2:24 dans l’expression « une seule chair » désignant pourtant deux personnes distinctes.

Dieu est Multiple et un à la fois !

1x1x1 = 1

Le Messie puis les premiers chrétiens furent rejetés par les Juifs car ils affirmaient explicitement que Ya:ḥou:(h)-Shoua( était Dieu. C’est l’un des concepts fondamentaux de la Trinité ne reniant aucunement le Shema, comme nous venons de l’expliquer.

Il y a trois personnes mais toujours un seul Dieu. Deutéronome 6:4 ne s’oppose pas à la Trinité divine.

Découvrez aussi une vérité vérifiée dans la nature : le mâle et la femelle : image de Dieu (homme et femme en Un) à la rubrique "HONNEUR FEMME RETABLIE" 

Père-Mère x Fils-Fille x Esprit-Saint = double Trinité en UN !

1 Corinthiens 11:11