Les chrétiens célèbrent les Mystères (prennent le Repas ou le Souper de Ya:hou:(h))

DEUX FOIS CHAQUE JOUR, LE MATIN ET LE SOIR, 

pour obéir à Notre Seigneur et parce qu'ils en ont besoin !

 

« Ils étaient assidus à l’enseignement des apôtres, à la communion fraternelle, au partage du pain et aux prières. (…) Chaque jour, ils étaient assidus au temple, d’un commun accord, ils rompaient le pain dans les maisons et ils prenaient leur nourriture avec allégresse et simplicité de cœur » Actes 2 :42, 46. (La différence est marquée entre l’acte de rompre le pain et celui de prendre sa nourriture quotidienne. « Rompre le pain » est une expression chrétienne pour parler du Repas du Seigneur selon 1 Corinthiens 10 :16.) 

 

Au commencement, les premiers chrétiens prenaient le Repas du Seigneur chaque jour. Matthieu 6:11 ; Evangile de la Vie Parfaite de Yahoushoua-Miryam 76:20 ; 96:22.

 

Petit à petit, Bélial réussit à faire baisser cette ferveur vitale pour l'alimentation du corps, de l'âme, de l'esprit de chaque chrétien. Les Eglises d'Afrique et en Espagne ainsi qu'à Constantinople prenaient le Repas chaque jour fidèlement (Hiéron. Epist. XXVIII Concil. Tolet. I. / Epist. XCVIII / Chrysost. Hom. II. In Ep. ad Ephes.). Au deuxième siècle, en Occident, on ne rompait le pain plus que les 3ème, 5ème et 7ème jours de la semaine (V. Pelliccia. I. 247). Au quatrième siècle, en Orient, on ne rompait le pain plus que les 3ème, 5ème, 6ème et 7ème jours de la semaine (Basil. Epist. 289 Ad Coes. Patrie). Les fidèles chrétiens rompent le pain cultuel deux fois chaque jour, chez eux dans la structure de l'Eglise établie pure. Actes de l'Apôtre Jean.

 

Le Repas du Seigneur doit être identique aux Repas du Seigneur des premiers siècles et se faire correctement selon tous les ordres du Seigneur et des apôtres. Premièrement : l'exomologèse (confession publique des péchés de chacun devant l'assemblée locale réunie et l'obtention du pardon - voir l'article plus bas) ; deuxièmement : le lavage des pieds (podonipsia). 

 

Le jus de raisin pur, si possible directement pressé dans la coupe

Il doit être de couleur rouge, non acide, non frelaté. Il doit être irréprochable à la couleur et au goût. L'achat de ce jus de raisin est à la charge de l'église locale. "Le fruit de la vigne" est du jus de raisin doux non fermenté. Bibliquement, la fermentation est le symbole de la corruption humaine et de l'indignation de Dieu. La Loi divine interdisait l'usage de jus de raisin fermenté à la Pâque. Exode 12:15 ; 13:6, 7. Témoignages : Eglise d'Abyssinie, les monastères Coptes en Egypte, Thomas d'Aquin.

 

L'eau pure

Les premiers chrétiens ajoutaient de l'eau dans la coupe. C'est l'enseignement de Notre Seigneur. Evangile de la Vie Parfaite de Yahoushoua-Miryam 32:3 ; 76:9. Du sang et de l'eau sont sortis du Corps de notre Seigneur à la Croix. "Mais l'un des soldats, d'un coup de lance, lui perça le côté, d'où sortit aussitôt du sang et de l'eau. C'est un témoin oculaire qui l'atteste ; son témoignage est véridique, et il a lui-même conscience de dire la vérité, pour que vous aussi, vous croyiez." Jean 19:34, 35. Il faut utiliser une eau nette et propre, une EAU DE SOURCE. La quantité d'eau doit être deux fois supérieure (jusqu'à quatre fois) à celle du raisin. Les anciennes églises d'Orient utilisaient de l'eau chaude, les anciennes églises d'Occident utilisaient de l'eau froide. Puis, l'apostasie apparue progressivement ! Certaines Eglises ne mettaient plus que de l'eau dans la coupe. Plus tard, certaines ne gardèrent que le raisin. Selon Tite 3:10, 11, rejetons toujours toutes les hérésies !

 

L'huile pure d'olive

Lévitique 2:1-7 ; 24:2 ; Evangile de la Vie Parfaite de Yahoushoua-Miryam 33:9 ; 75:6 ; 92:5, 6 ; Apocalypse de Jean 6:6.

 

Le pain pur de maïs et de blé, sans levain et salé, sur l'autel

Notre Seigneur utilisa du pain serré sans levain car c'était la Pâque. Dieu rejette le levain et l'interdit pour son culte saint. "Aucune des offrandes végétales que vous présenterez à Ya:hou:(h) ne sera levée : vous ne ferez rien fumer qui contienne du levain ou du miel parmi les offrandes consumées par le feu pour Ya:hou:(h). Vous pourrez en présenter à Ya:hou:(h) comme présent de prémices ; mais on n'en placera pas sur l'autel comme une odeur agréable. A toutes les offrandes végétales que tu présenteras tu ajouteras du sel ; tu ne laisseras pas ton offrande végétale manquer du sel de l'alliance de ton Dieu ; avec tous tes présents tu présenteras du sel." Lévitique 2:11-13. Ce pain doit être propre, entier, rond, fait de la fine fleur de farine. Il ne doit pas être badigeonné d'oeuf (pratique courante païenne pour la brillance du pain). Préparez-le vous-mêmes avec de la farine pure, de l'eau de source, du sel. Maïs et le blé : Evangile de la Vie Parfaite de Yahoushoua-Miryam 32:8 ; 33:9.

 

(Recette pour le pain sacré : Allumer le four à 180°. Dans un récipient, mélanger 1 grosse cuillère 1/2 de farine de blé et 1 grosse cuillère 1/2 de farine de maïs et une petite pincée de sel. Mélanger. Verser l'eau au centre. Attention à la quantité ! Commencer par peu. Faire une boule en pétrissant. Mettre au four chaud, pendant 15 minutes.)

 

Dans l'Eglise pure, l'autel sacré recouvert d'une nappe blanche, dirigé vers l'Est

Les premiers chrétiens utilisaient chez eux pendant longtemps certains rites qui n'avaient pas été abolis à la Croix, comme les bains rituels et l'autel. Les fidèles chrétiens utilisent un autel simple, une table qu'il consacre par la prière, l'huile sainte et le signe de croix. Cet autel ne doit pas être ensuite utilisé pour un usage profane, ni vendu, ni détruit. Cet autel est dirigé vers l'Est. Les Chérubins étaient tournés vers l'Est. C'est une table spirituelle et divine. Il est recouvert entièrement d'une nappe blanche, par respect.

 

Hébreux 13:10 "Nous avons nous aussi notre autel, mais on ne peut en profiter tant qu'on prend part au culte du Temple" ;

 

1 Corinthiens 10:18, 21 "Considérez l'Israël selon la chair: ceux qui mangent les sacrifices n'ont-ils pas communion avec l'autel ? (...) Vous ne pouvez boire la coupe de Ya:hou:(h) et la coupe des démons ; vous ne pouvez participer à la table de Ya:hou:(h) et à la table des démons. Ou bien, voulons-nous provoquer la jalousie de Ya:hou:(h) ? Serions-nous plus forts que lui ?" 

 

1 Pierre 2:9 "Mais vous, vous êtes une lignée élue, un prêtrise royale, une nation sainte, un peuple que Dieu s'est formé, ayant pour office de proclamer les perfections de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière."

 

"Si donc, tu es à offrir ton présent à l'autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton présent au pied de l'autel, et va d'abord te réconcilier avec ton frère ! Alors seulement, tu reviendras offrir ton présent !" Matthieu 5:23, 24. Les premiers Chrétiens apportaient des présents (nourriture, argent) qui étaient déposés sur l'autel chrétien. Ceux qui étaient en conflit devaient poser leurs présents au pied de l'autel et non sur l'autel. Être en paix est une condition requise divine pour adorer purement.

 

L'autel chrétien est carré selon le principe divin en Exode 27:1; 38:1.

 

Quand un fidèle chrétien des premiers temps était emprisonné, il se servait de sa poitrine comme autel pour prendre le Repas de Ya:hou:(h). 

 

L'encens pur

    Les premiers chrétiens utilisaient certains rites qui n'avaient pas été abolis à la Croix, comme les bains rituels, l'autel et l'encens. Hénoch et Abraham offraient de l'encens à Ya:hou:(h). Cet encens était composé d'oliban, de galbanum, de nataf, d'épices, de nard, de myrrhe, de baume. (Livre des Jubilés chap. 3 ; 4 ; 16). Cet encens doit être correct et consacré par la prière, l'huile sainte et le signe de croix. Il ne peut pas être utilisé pour une chose profane. Cet encens ne doit pas être composé de miel (Lévitique 2:11). Cet encens doit être pur. Attention ! Nous n'utilisons pas les bâtonnets d'encens non purs qui sont souvent fabriqués avec du miel trempé dans des produits chimiques    . L'encens doit brûler chaque jour pour le Fils, Ya:hou:shoua(-Mirya:m, au lever du soleil et à son coucher. Luc 1:8-23 ; Malachie 1:11 ; Evangile de la Vie Parfaite de Yahoushoua-Miryam 32:6 ; 49:7 ; 76:8 ; 87:10 ; 92:5 ; 93:9, 10 ; 96:24.

 

La lumière sacrée

Les premiers chrétiens utilisaient certains rites qui n'avaient pas été abolis à la Croix, comme les bains rituels, l'autel, l'encens, la lumière. Cette lumière doit être correcte et consacrée par la prière, l'huile sainte et le signe de croix. Elle ne peut pas être utilisée pour une chose profane. La lumière dans le culte est une pratique chrétienne. Elle était déjà établie par Dieu parmi les Juifs. Nous sommes entrés dans le séjour de la lumière. Une lumière nouvelle et merveilleuse. La lumière allumée lors du culte de chaque chrétien dans son foyer est le symbole de cette lumière éternelle. Cette lumière représente la gloire divine dont nous jouissons déjà en partie. Elle signifie aussi notre bonheur divin. Cette lumière est notre Seigneur. Isaïe 60:19 ; Jean 1:9 ; 8:12. Ya:hou:shoua( l'Oint est la lumière non seulement des vivants mais aussi des morts. Cette lumière brille pour tous. Elle est durable pour ceux qui l'acceptent. Nous sommes nous aussi les lumières de la foi. Matthieu 13:43 ; Psaumes 36:10. Nous sommes établis et plongés dans la lumière divine en Ya:hou:shoua( l'Oint. Cette lumière éclaire au lever du soleil jusqu'à son coucher. Elle est allumée dans notre foyer et dans l'assemblée locale. Elle symbolise aussi la lumière immense de notre paradis spirituel présent et celle de notre paradis futur. Elle représente la gloire  des justes. En tant que chrétiens fidèles, nous sommes dans un lieu lucide, au sein d'une clarté divine. Allumez vos lumières dans vos foyers depuis le lever du soleil. Cela aussi fait partie de l'enseignement du Seigneur que nous devons garder et défendre. Lire 2 Thessaloniciens 2:15 ; 3:6 ; 1 Corinthiens 11:2. La lumière sacrée doit être allumée chaque jour dans tous les foyers chrétiens pour la prière. Et du lever du soleil à son coucher, au lieu de l'autel local. 

 

Le calice sacré

Cette coupe particulière est consacrée par la prière, l'huile sainte et le signe de croix. 1 Corinthiens 10:16 "La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas une communion au sang de Ya:hou:shoua( l'Oint?" Cette coupe ne doit pas être ensuite utilisée pour un usage profane.

 

Chacun appuyé sur son bâton de pélerin

C'est un rite chrétien établi par les Apôtres pour chaque fidèle. Il existe despuis l'origine chez les fidèles serviteurs de Dieu.

 

"Voici comment vous le mangerez : une ceinture à vos reins, vos sandales aux pieds et votre bâton à la main ; vous le mangerez à la hâte. C'est la Fête du Passage et du Saut de Ya:hou:(h)." Exode 12:11.

 

"Il reprit : Jure-le-moi !" Il le lui jura. Puis Israël adora sur l'extrémité de son bâton." Beréshi:th 47:31 (dans les versions courantes "Genèse", texte non falsifié mais originel, confirmé par la Septante (LXX) et Hébreux 11:21. 

 

Les plus anciens rituels et sacramentaires le mentionnent. C'est la coutume de la véritable Eglise.

Ce bâton est le symbole de la Croix. C'est le souvenir de la Croix. Les fidèles chrétiens s'appuient sur leur bâton pendant qu'ils boivent et mangent le Repas du Seigneur. Ils sont des pèlerins dans ce monde. Ils se dirigent vers leur domicile originel. Voir Honor. Augustod. Cem. anim. I. 24 ; Amalar. De offic. eccles. III. 18 ; Martène. De antiq. Eccl. rit. libr. I. Cap. 4. art 5.

 

Le lavage sacré des pieds (podonipsia)

Notre Seigneur institua cette cérémonie essentielle que ses disciples observèrent scrupuleusement et fidèlement dans le monde entier pendant plusieurs siècles. Voir l'Eglise de Milan et ailleurs en Italie, dans les Gaules, en Espagne, en Afrique. Voir Buxtorf (Dissert. de coen. Dom) et le Concile de Tolède en 696 qui le rappelle. Saint Bernard, Ernalde, l'abbé de Bonnevalle, Ambroise, saint Gérard (évêque de Toul) confirmèrent cette cérémonie des premiers chrétiens. Ce rite chrétien doit être accompli avec foi et humilité. Ce lavement des pieds signifie l'application du Sacrifice de Notre Seigneur pour l'effacement de nos tendances ou de nos penchants journaliers aux péché. Pratiquer ce rite chrétien est une condition requise pour être ordonné ou entrer dans un ministère chrétien quelconque. "Qu'elle ait le témoignage de ses belles oeuvres : pour avoir élevé des enfants, exercé l'hospitalité, lavé les pieds des saints, pour être venue en aide à ceux qui sont dans la détresse et s'être attachée à toute oeuvre bonne." 1 Timothée 5:10. "Ensuite, il verse de l'eau dans un bassin et se met à laver les pieds de ses disciples et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. Il vient donc à Simon Pierre, qui lui dit : "Toi, Seigneur, me laver les pieds, à moi !" Ya:hou:shoua( lui répondit : "Ce que, moi, je suis en train de faire, toi, tu ne le comprends pas maintenant ; mais tu le sauras plus tard." Pierre reprit : "Non, jamais tu ne me laveras les pieds !" Ya:hou:shoua( lui répondit : "Si je ne te lave pas, tu n'auras pas de part avec moi." Simon Pierre lui dit : "Seigneur, pas seulement les pieds, mais encore les mains et la tête !" Ya:hou:shoua( reprit : "Celui qui sort du bain n'a besoin que de se laver que les pieds, il est entièrement pur. Vous aussi, vous êtes purs, mais non pas tous." Jean 13:5-7. "Vous aussi vous devez vous laver mutuellement les pieds." Evangile de la Vie Parfaite de Yahoushoua-Miriam 76:4. 

 

Ce qu'est vraiment le Souper de Ya:hou:(h)

"La coupe de bénédiction, sur laquelle nous prononçons la bénédiction, n'est-ce pas une communion au sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n'est-ce pas une communion au corps du Christ ?" 1 Corinthiens 10:16.

 

"C'est pourquoi celui qui mange le pain ou boit la coupe de Ya:hou:(h) indignement sera coupable envers le corps et le sang de Ya:hou:(h). Que chacun s'examine plutôt lui-même, et qu'ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans discerner le corps mange et boit un jugement contre lui-même. C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup de malades et d'infirmes, et qu'un assez grand nombre se sont endormis dans la mort." 1 Corinthiens 11:27-30.

 

Que de condamnations et de confusions durant l'Histoire à ce sujet ! Tout simplement, parce que les textes furent cachés par l'Empereur romain païen Constantin le Grand et Sylvestre 1er l'évêque de Rome. Il n'y a ni transsubstantiation ni consubstantiation AVEC LA CHAIR ET LE SANG PHYSIQUES ! NON ! Ce ne sont pas des symboles non plus ! NON ! Voici les paroles claires de Notre Seigneur :

 

"Pensez-vous que je parle de manger de la chair, ce que vous faites par ignorance dans le Temple de Dieu ? Certes, mon corps est la substance de Dieu. Et c'est vraiment un aliment. Et mon sang est la vie de Dieu. Et c'est vraiment un breuvage. Ce n'est pas comme vos ancêtres, qui mouraient d'envie de chair. (...) C'est l'Esprit qui vivifie, la chair et le sang ne sert de rien ! Les paroles que je vous dis, elles sont esprit et elles sont vie ! (...)"Les paroles que je vous disais sont esprit et elles sont vie ! Pour les ignorants et les charnels, elles signifient qu'ils savourent les effusions de sang et la mort ! Mais bienheureux sont ceux qui comprennent ! (...) C'est en vérité ma Présence qui est avec vous, dans la substance et dans la vie de Dieu, qui se manifeste dans ce corps et ce sang. Et de ces moyens, vous devez tous manger et boire, vous qui croyez en moi." (...) "Donc, la chair et le sang sont la substance même de Ya:hou:(h) et de sa vie. Vous êtes participants à la vie. Mes paroles sont esprit et elles sont vie !" (...) Malheur donc, que je vous ai dit, si vous ne mangez pas de la chair et ne buvez pas le sang de Dieu ! Vous n'avez pas la vie en vous ! (...) "Par ta vie et par ta substance" Evangile de la Vie Parfaite de Ya:hou:shoua(-Mirya:m 31:2, 3, 7 ; 32:2, 5, 10-12.

"Dieu est Esprit !" Jean 4:24 !

 

Sur la Croix, ce n'étaient pas des symboles ! C'étaient réellement la Chair et le Sang de notre Seigneur. Notre Seigneur précisa avec importance que c'était cette même chair et ce même sang qui étaient le Repas de ses disciples. Mais ces paroles choquent ceux qui sont charnels. Cela choqua les Juifs sans foi mais pas ses fidèles disciples. Son sacrifice a été offert une fois pour toutes et il ne doit pas être renouvelé. Ce ne sont ni sa Chair physique ni son Sang physique ressuscités qui sont réellement nourriture et boisson pour le corps, l'âme et l'esprit de chaque chrétien. Nous avons besoin de cette nourriture surnaturelle, pour notre corps, notre âme et notre esprit. C'est une COMMUNION selon 1 Corinthiens 10:16. Dieu nous remplit et nous communique sa Substance (qui est Esprit !) et sa Vie (qui est Esprit !) ! indispensables pour entrer dans le Royaume de Ya:hou:(h). Sur la Croix, la chair et le sang de notre Seigneur n'étaient pas des symboles. Ils étaient réels. Lors du Repas du Seigneur, nous absorbons la Substance de Dieu (qui est Esprit !) et sa Vie (qui est Esprit !) par le moyen du Pain sans levain et du Fruit de la Vigne Vivante. "Car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel pour donner la vie au monde." "Le pain que, moi, je donnerai, c'est ma chair, pour la vie du monde." Jean 6:33, 51.

 

Le pain et le jus de raisin sur la Table du Seigneur sont ils des symboles ? Luther lui-même refusait de le croire et combattait ceux qui affirmait que le pain et le raisin étaient des symboles. Mais, il blasphéma contre le Repas du Seigneur. Il affirmait, contrairement  aux paroles CLAIRES de notre Seigneur, que la Chair de notre Seigneur était cachée sous le pain. En fait, c'est la substance de Dieu qui est Esprit qui nous est communiquée. Nous ne mangeons pas sa Chair physique cachée. Nous ne buvons pas son sang physique caché !

 

De plus, on ne renouvelle pas le sacrifice du Christ. Le renouvellement du sacrifice de Christ par le prêtre est une déviation grave par l'Eglise Catholique Romaine. Cependant, Christ nous donne miraculeusement à chaque fois, chaque jour, une vraie nourriture et une vraie boisson DIVINES : la substance et la vie de Dieu qui EST ESPRIT (Jean 4:24). C'est pour notre corps, notre âme et notre esprit qui en ont besoin. Il ne faut pas déduire des apparences matérielles qui ne changent pas (forme, poids, couleur, taille, goût) que la substance à l'intérieur n'a pas changée. Bien au contraire ! C'est un miracle que seul Dieu peut faire, et il le fait pour la vie et la santé de notre corps, notre âme et notre esprit.

 

Les Apôtres s'attendaient à un miracle, habitués à ceux-ci, lorsque notre Seigneur Yahoushoua déclara: "C'est mon corps", "C'est mon sang". Matthieu, Marc, Luc, Jean, Paul affirmèrent la même chose. Si Yahoushoua avait parlé en images, il y aurait eu au moins un écrivain sur cinq qui aurait expliqué clairement qu'il s'agissait de symboles afin d'éviter toute confusion. Rien de tel ! Pas un ne fait allusion au langage figuré pour atténuer le langage de Christ. Bien au contraire ! Tous affirment qu'ils s'agit réellement de la chair et du sang EN ESPRIT de notre Seigneur lors du Repas du Seigneur. Matthieu 26:26-29 ; Marc 14:22-25 ; Luc 22:14-20 ; Jean 6:26-58 ; 1 Corinthiens 10:16 ; 11:27 (11:23-34).

Yahoushoua n'utilisa pas un langage ambigu alors qu'il allait mourir. Lors de nos dernières volontés, nous avons un langage net. Yahoushoua déclara: "CECI est mon corps". Il ne déclara pas: "CE PAIN est mon corps". Yahoushoua n'est pas un menteur. Yahoushoua n'a pas dit: "Ceci est LE SIGNE de mon corps". Notre Seigneur parla. Ils écoutèrent et ils crurent. Pas de doutes en eux sur le miracle du pain en la SUBSTANCE QUI EST ESPRIT et le raisin en VIE QUI EST ESPRIT !

Faisons réfléchir par deux questions ceux qui doutent en ce miracle :
- Yahoushoua n'a-t-il pas pu communiquer la substance qui est Esprit et la Vie qui est Esprit ?
Il changea l'eau en jus de raisin à Cana. Il nourrit 5000 personnes avec quelques pains et quelques fruits. Il est Tout-Puissant.
Nier que Yahoushoua n'a pas pu, c'est nier qu'il est Dieu !
- Yahoushoua n'a-t-il pas voulu communiquer la substance qui est Esprit et la Vie qui est Esprit ?
Yahoushoua ne se contredit pas ! Il promit que la substance qui est Esprit et la Vie qui est Esprit seront données à manger. Jean 6:51.

Puis il déclara clairement: "Amen, Amen, je vous le dis, si vous ne mangez pas la chair du Fils de l'homme et si vous ne buvez pas son sang, vous n'avez pas de vie en vous. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle, et moi, je le relèverai au dernier jour. Car ma chair est VRAIE nourriture, et mon sang est VRAIE boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, comme moi en lui. Comme le Père, qui est vivant, m'a envoyé, et comme moi, je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi." Jean 6:53-57.

Quand un roi puissant lègue un royaume, des richesses, des biens. Est-ce en image, en symbole ? Non, c'est du réel. De même, notre Seigneur nous lègue réellement la Substance et la Vie qui sont ESPRIT (Jean 4:24).

S'il s'agissait seulement de signes, de symboles, alors le péché contre la table de Ya:hou:(h) ne serait que de l'irrévérence envers Dieu. Mais ce n'est pas le cas. C'est beaucoup plus grave, selon ce qui est écrit en 1 Corinthiens 11:27 : "C'est pourquoi celui qui mange le pain ou boit la coupe de Ya:hou:(h) indignement sera coupable envers LE CORPS ET LE SANG de Ya:hou:(h) !" C'est un ATTENTAT contre LA SUBSTANCE ET LA VIE QUI SONT L'ESPRIT de Christ !

 

Le texte en 1 Corinthiens 10:20, 21 fait le parallèle entre la communion à la table des démons et la communion à la Table du Seigneur. C'est un fait que l'Apôtre Paul insiste sur la communion dans les deux cas. Il y a vraiment communion lors du Repas du Seigneur.

Que répondre à ceux qui disent: on ne peut pas comprendre ?
Réponse : Si le chrétien rejette ce qu'il ne comprend pas parfaitement, il faudrait alors rejeter tous les mystères de Dieu et Dieu lui-même !

En fait, Yahoushoua est assez puissant et infaillible pour FAIRE CETTE TRANSMUTATION : le jus de raisin en la VIE ESPRIT et le pain en sa SUBSTANCE ESPRIT. Qui sommes-nous pour mettre des bornes à la puissance de Dieu ?

Différences entre Transformation et Transsubstantiation :
Transformation : les apparences changent mais la substance est la même. Exemple: l'eau en glace se transforme en vapeur.
Transsubstantiation : les apparences sont les mêmes (forme, couleur, poids, goût) mais la substance change ! Seul Dieu peut le faire.
Menaschè (Moïse) transforma le bâton en dragon et les eaux du Nil en sang. Yahoushoua fait beaucoup plus par ses paroles ! C'est une transmutation ! C'est la SUBSTANCE QUI EST ESPRIT ET LA VIE QUI EST ESPRIT ET NON PHYSIQUES qui sont communiquées par le moyen du Pain et du Fruit de la Vigne Vivante.

S'agit-il de cannibalisme ? Réponse : Non, on ne mange pas les morceaux de la chair du Seigneur, coupés et sanglants. Sa chair PHYSIQUE et son sang PHYSIQUE ne sont PAS présents.

Jamais, Yahoushoua n'a dit: "Celui qui me mangera EN FIGURE." Donc, ses paroles ne sont pas à prendre au sens figuré. Notre vie spirituelle, divine, est entretenue par cette nourriture divine, CETTE SUBSTANCE ET CETTE VIE DIVINE QUI SONT ESPRIT !

 

DIEU EST ESPRIT ! DIEU N'EST PAS UN SYMBOLE MAIS IL EST BIEN REEL ! DIEU N'EST PAS figuré mais réel TOUT EN ETANT ESPRIT !

Nos sens nous trompent-ils lors du Repas du Seigneur ? Non, car nos cinq sens jugent que des apparences accidentelles (sujettes aux variations).

Dans le raisin et le pain, les apparences de ceux-ci ne sont pas attachées à la réalité. Ces apparences ne sont que soutenues par la substance divine.

Posons ces questions aux scientifiques qui veulent contester la réalité du Repas du Seigneur : De quoi est constituée la substance du corps? D'éléments matériels ou de forces spirituelles ? Le corps n'est-il qu'un tout continu ou des molécules tenues à distances les unes des autres ? Notre nature matérielle est un mystère.

En fait: "Ma raison, mes sens peuvent me tromper, Dieu ne me trompera jamais !"

 

Nier qu'il s'agit de la SUBSTANCE de notre Seigneur, c'est le faire menteur. C'est du blasphème et amener les autres dans ce péché très grave! Nier que le Repas du Seigneur est vraiment LA COMMUNION avec DIEU, c'est nier sa Toute-Puissance, c'est nier que Dieu s'est fait Homme, c'est nier la Rédemption, c'est nier la résurrection du corps de Christ, c'est nier la récompense éternelle, bref: c'est renier la foi chrétienne. Celui qui opère le miracle du Repas du Seigneur est le même que Celui qui changea la femme de Lot en statue de sel, qui change les éléments de la terre en fruits, en graines, en légumes.

 

Les chrétiens apostats nient les paroles claires de notre Seigneur tout en prétextant être fidèles. En étant fidèles à leurs conceptions humaines et rationalistes, ils renient le miracle que notre Seigneur accomplit lors de Son repas, le font passer pour un menteur. Ainsi, ces chrétiens blasphèment et ils sont dans un état de péché grave. Qu'ils se repentent et reviennent à la fidélité réelle aux paroles de notre Seigneur et à ses Apôtres.

 

Que cela ne nous empêche pas de nous nourrir réellement de la SUBSTANCE et de la VIE de notre Seigneur chaque jour. C'est vital ! Christ en nous vit en nous. Quelle grâce et quelle merveilleuse bénédiction ! Chérissons-la !

 

Les premiers chrétiens avaient l'habitude d'emporter chez eux (dans une corbeille) ce qui restait du Repas du Seigneur (dans un vase de verre). C'est un sacrilège de jeter les restes du Repas du Seigneur ! Celui qui s'en rend coupable, péchant ainsi contre le Corps du Seigneur, rendra de terribles comptes. Voir le témoignage de Jérôme sur les premiers chrétiens (Ep. ad Rustic. II. XX).

 

La confession publique de ses péchés avec

la prononciation du pardon divin par la prêtrise pure, AVANT toute communion

 

"Dans l'assemblée, tu feras l'exomologèse de tes péchés et tu n'iras pas à la prière avec une conscience mauvaise. Tel est le chemin de la vie." Epître d'un Apôtre du premier siècle de notre ère, appelée par erreur "Didachè" ou "Doctrine des Douze Apôtres", selon le texte rétabli, 4:14.

 

"Chaque jour, vous étant assemblés, rompez le pain et rendez grâces, après vous être mutuellement confessés vos transgressions, afin que votre sacrifice soit pur ! Mais, que quiconque a un dissentiment avec son prochain ne se joigne pas à vous jusqu'à ce qu'ils se soient réconciliés, afin que votre sacrifice ne soit pas profané ! Car, voici telle est la Parole de Ya:hou:(h) : "En tout temps et en tout lieu on me présentera une offrande pure, car Je suis un grand Dominateur Suprême !" Dit Ya:hou:(h) ! "Mon Nom est admirable parmi les nations !" Elisez-vous donc des Surveillants et des Diacres dignes de Ya:hou:(h) : humains doux et désintéressés, véridiques et éprouvés ! Car, pour vous, ils remplissent, eux aussi, le ministère de Prophètes et de Rabbis. Ne les méprisez donc pas ! Car, ils doivent être honorés parmi vous, en communauté avec les Prophètes et les Rabbis ! Reprenez-vous les uns les autres, non pas en colère mais en paix, comme vous en avez l'ordre dans l'Evangile ! Celui qui manque à son prochain, que nul d'entre vous ne lui parle ni ne l'écoute jusqu'à ce qu'il se soit repenti ! Mais, vos prières et vos aumônes et toutes vos actions, faites-les comme vous en avez l'ordre dans l'Evangile de Notre Seigneur !" Epître d'un Apôtre du premier siècle de notre ère, appelée par erreur "Didachè" ou "Doctrine des Douze Apôtres", selon le texte rétabli.

 

Le péché est une barrière. L'obtention du pardon par Dieu est le premier pas pour être béni. Le pardon est la porte à franchir pour participer aux activités sacrées. Ce pardon n'est pas automatique comme si on prenait un billet à un distributeur. Il est obtenu de Notre Seigneur par le canal qu'il a établi. Jean 20:23. L'exomologèse (confession publique de ses péchés) se pratiquait dans les Eglises primitives.

 

Cette confession libre était faite AVANT la communion au Repas du Seigneur. "Ainsi donc, quiconque mange le pain ou boit la coupe de Ya:hou:(h) d'une manière indigne, se rend coupable à l'égard du corps et du sang de Ya:hou:(h).  Que chacun fasse son jugement, et qu'ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans juger le corps mange et boit une condamnation contre lui-même. C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup de malades et d'infirmes, et qu'un assez grand nombre se sont endormis. Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés." 1 Corinthiens 11:27-31.

 

"Maintenant, ce que je vous ai écrit, c'est de ne pas avoir de relations avec quelqu'un qui, tout en se nommant frère, se livre à la liberté sexuelle, à l'avidité, à l'idolâtrie, aux insultes, aux beuveries ou qui profite des autres, et même de ne pas manger avec un tel homme. Est-ce à moi, en effet, de juger ceux du dehors ? Et ceux du dedans, n'est-ce pas vous qui en êtes juges ? Ceux du dehors, c'est Dieu qui les jugera. Expulsez le mauvais du milieu de vous." 1 Corinthiens 5:11-13.

 

Incontestablement, des chrétiens nés de nouveau se rendent coupables. Nous ne déclarerons pas innocents les coupables. Comment Notre Seigneur Très-Saint peut-il communiquer la substance de Dieu à un chrétien qui est impur par son péché non confessé et non pardonné ? Tout chrétien doit confesser dans l'assemblée ses péchés AVANT la communion sacrée. C'est seulement APRES avoir obtenu la proclamation du pardon divin par ceux qui composent le Pain qu'il pourra communier. Ce jugement entre nous est impératif pour éviter le jugement du Seigneur qui se concrétise par des maladies et la mort physique prématurée des pécheurs de son Eglise. Ne nous pouvons pas manger, c'est-à-dire communier, avec les chrétiens qui ne confessent pas leurs péchés et ne s'en repentent pas immédiatement et sincèrement.

 

Ne vous laissez pas être dupés par les faux enseignants qui affirment qu'il n'y a plus de condamnation pour les chrétiens, abusant du texte de Romains 8:1. 1 Corinthiens 11:27-32 est incontestable. Des condamnations mortelles s'abattent sur de nombreux chrétiens nés de nouveau car ils se rendent coupables par leurs péchés. Ne faisons pas mentir Dieu. De plus, les faits sont là. Donc, la confession avant la communion est indispensable. C'est une question de vie ou de mort !

 

La confession à un prêtre humain établi par Dieu a toujours été un principe divin capital. Ce n'était jamais une confession vague des fautes commises par pensées, par œuvres et par omission ; c'était une déclaration distincte et particularisée des fautes. De dignes fruits de repentance étaient ensuite exigés. Lire Matthieu 3:6-8. "Et beaucoup de fidèles venaient confesser publiquement leurs pratiques magiques." Actes 19:18 ; Lévitique 5:5, 6 ; 26:40, 46 ; Nombres 5:5-10 ; Josué 7:19-23 ; Néhémie 9:2, 3 ; Proverbes 28:13 ; 1 Jean 1:9. Personne ne peut se dispenser du canal établi par Dieu pour l'approcher. Pour ses propres péchés, il est indispensable de passer par la prêtrise humaine établie par notre Seigneur. C'est se tromper soi-même que de croire obtenir le pardon de Notre Seigneur tout en s'écartant de la confession exigée par celui-ci au moyen de la prêtrise qu'il a établie dans son Eglise.

 

Les chrétiens qui contestent et insultent leurs frères et soeurs de la foi, qui défendent ces ordres apostoliques et divins, se révèlent être des rebelles qui insultent Notre Seigneur lui-même. Ces contestataires doivent se repentir immédiatement ou être ôtés tout de suite du pain selon 1 Corinthiens 5. L'Eglise ne permet pas en son sein ceux qui manifestent un esprit de Jézabel, esprit qui s'oppose à l'autorité divine, esprit qui attaque le port du voile sacré par les femmes chrétiennes lors de leurs actes de piété. Ceux qui aiment le péché ne peuvent demeurer avec nous en communion selon Jude 11-13. Ces pseudo-chrétiens "promettent la liberté, mais ils sont eux-mêmes les esclaves de la pourriture, (...), leur dernière condition devient pire que la première. Mieux eût valu pour eux ne pas connaître la voie de la justice, que de l'avoir connue pour retourner en arrière, loin des saints commandements qui leur avaient été donnés. Ainsi réalisent-ils trop justement le proverbe : "Le chien retourne à son vomissement", et cet autre "Le porc au sortir du bain se vautre de nouveau dans le bourbier." 2 Pierre 2:19-22. Qu'il n'en déplaisent à certains qui éprouvent une sensibilité exagérée, l'Apôtre Pierre nomment certains chrétiens qui étaient nés de nouveau de "chiens" et de "porc" (animal impur sous la Loi de Menaschè) retournant à leurs saletés. Selon Galates 5:4, ces chrétiens qui étaient nés de nouveau n'ont "plus rien de commun avec l'Oint, ils sont déchus de la grâce" malgré leurs affirmations mensongères. Ils étaient nos collaborateurs mais ils ont reçu "en vain la grâce divine" 2 Corinthiens 6:1. Selon 1 Jean 3:15, la vie éternelle glorieuse qui avait commencé à habiter leur corps, leur âme, leur esprit, les a quittés. Dieu s'est retiré de tels êtres. Il les a vomi de sa bouche selon l'expression en Apocalypse 3:16. Prenons garde à ce que cela ne nous arrive pas ! Ne nous trompons pas par de fausses conceptions contraires à la Parole de Dieu. "Tenons ferme la grâce et par elle rendons à Dieu un culte agréable, mêlé de piété et de crainte. Car notre Dieu est un feu dévorant" Hébreux 12:28, 29.

 

Faisons la confession publique de tous ceux-ci et remettons les choses en ordre dans tous nos foyers et toutes nos églises locales. Que chaque chrétien revienne au premier amour pur de l'Eglise du départ, à ses vraies doctrines originelles, à ses pratiques originelles, à toutes les traditions apostoliques, à la pratique du culte immaculé dans chaque foyer chaque jour et dans chaque église locale. Qu'il se nourrisse réellement à la Table du Seigneur dignement et non pas en état de péché non confessé et non pardonné. Pratiquons à nouveau cette confession publique AVANT de communier. "Confessez donc vos péchés les uns devant les autres et priez les uns pour les autres, pour que vous soyez guéris." Jacques 5:16.

 

Le Repas du Seigneur ou le Souper de Ya:hou:(h) n'est que pour les personnes adultes

baptisées au Nom du Père, du Fils et de l'Esprit-Saint, ayant reçu l'onction d'huile !

 

"Car nous qui sommes plusieurs, sommes un seul pain, un seul corps, car nous participons tous à un seul et même pain." 1 Corinthiens 10:17.

 

"Que personne ne mange et ne boive de votre eucharistie, si ce n'est les baptisés au nom du Seigneur, car c'est à ce sujet que le Seigneur a dit : « Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens." Didachè 9:5.

 

Lire la rubrique "Ton salut" pour connaître les vrais enseignements de notre Seigneur sur le baptême des enfants et des adultes.

Les femmes chrétiennes et le voile sacré.

Voir la rubrique "HONNEUR FEMME" et "Eglise divine".

Pour le port du voile sacré, imitons Miryam, la mère du Seigneur ! Ce n'est pas une affaire de coutume ou d'époque, puisque Dieu lui-même rappelle la base de son commandement: le principe universel et permanent de l'ordre de sa création dans le texte inspiré suivant :

 

Notre Dieu commande ceci à son peuple en 1 Corinthiens 11:3, 6, 8-10, 16 "Mais je veux que vous le sachiez, la tête de homme sans exception, c'est l'Oint, et la tête de la femme, c'est l'homme, et la tête de l'Oint, c'est Dieu. (...) Si donc la femme paraît sans voile, qu'on lui coupe aussi les cheveux. (...) Car l'homme n'est pas de la femme, mais la femme de l'homme ; car aussi l'homme n'a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l'homme. (...) Enfin si quelqu'un fait mine de discuter, nous, nous n'avons pas une telle habitude, ni les Eglises de Dieu."

 

Bien qu'il n'y ait pas de différence entre homme et femme pour le salut, les chrétiennes se couvrent dignement les cheveux avec un voile correct pour prier. C'est en tout temps que l'homme ne doit pas prier la tête couverte. De même, c'est en tout temps que la chrétienne doit se couvrir dignement les cheveux avec un voile pour prier. Ce n'est pas une affaire de coutume ou d'époque, 

Les cheveux ne sont pas le voile mentionné en 1 Corinthiens 11:5, 6, 10, 13. Si les cheveux étaient le voile mentionné dans ces versets, alors selon cette interprétation orientée nous lirions ceci : "Si donc la femme paraît sans cheveux, qu'on lui coupe aussi les cheveux." C'est absurde ! On ne peut pas couper les cheveux à une femme sans cheveux ! Il est incontestable que cette interprétation, selon laquelle les cheveux sont le voile mentionné aux versets 5, 6, 10 et 13, tord le sens exact de l'Ecriture, rend la Parole de Dieu absurde. De plus, l'homme ne doit pas porter de voile pour prier. Doit-il être chauve pour prier ? Absurde ! Le voile n'est donc pas la chevelure pour l'homme ou la femme. D'ailleurs, selon le verset 6, le voile est distinct de la chevelure. En fait, cette interprétation trompeuse, selon laquelle les cheveux seraient le voile, est un mensonge satanique. Il s'oppose à l'enseignement clair de l'Ecriture et aux traditions transmises par les Apôtres. Que les femmes chrétiennes soient glorieuses en portant dignement le voile sacré lors de leurs prières privées et publiques. Elles ne seront ainsi ni rebelles ni insoumises à Celui qui fixa leur rang dans sa création.